Bulle vidéo en définition optimisée :

Contrairement aux plateformes qui diffusent des flux en haute définition de manière systématique, Glowbl adopte une approche plus mesurée en affichant les participants dans des bulles de taille réduite. Cela permet d’adapter la qualité du flux vidéo aux besoins réels, réduisant ainsi la bande passante consommée et, par extension, l’empreinte carbone.

Si l’utilisateur veut voir en plus gros les caméras des participants, un bouton d’agrandissement existe. Il existe aussi la possibilité de projeter les bulles sur la table pour mettre en scène des jeux de rôle ou des saynètes par exemple.

Les fonds “de confidentialité” énergivores deviennent non nécessaires : :

Les arrière-plans floutés ou virtuels sont gourmands en ressources car ils nécessitent un traitement vidéo en temps réel. Glowbl contourne ce besoin grâce à son système de bulles centrées sur le visage, évitant ainsi l’ajout d’effets consommateurs d’énergie.

Si vous le souhaitez, il est tout de même possible d’ajouter une image ou un flou en arrière-plan.

Un algorithme de priorisation des flux vidéo : 

Glowbl ne diffuse en temps réel que les vidéos des 5 derniers contributeurs actifs par défaut, au lieu de maintenir tous les flux ouverts en continu. Cette approche permet d’optimiser la consommation de données tout en assurant une interaction fluide. L’utilisateur peut néanmoins ajuster ce paramètre jusqu’à 20 flux si nécessaire, garantissant ainsi un équilibre entre sobriété et flexibilité.

Exemple : Pour une présentation d’une heure avec 20 personnes, en affichant seulement les caméras des 5 dernières personnes à parler, on peut économiser environ 179 grammes de CO2 équivalent. Cela correspond à la consommation de 1 365 litres d’eau du robinet ou à parcourir 61 kilomètres en TGV.

Éviter le partage d’écran massif :

Le partage d’écran fonctionne comme un flux vidéo en continu et est donc très énergivore. Glowbl encourage des alternatives plus sobres, comme le dépôt et l’annotation collaborative de documents ou le partage direct en iframe ou par la liseuse vidéos sur la table. Cette approche réduit le besoin de streaming en continu tout en améliorant l’expérience de travail collectif.

Exemple : Pour une présentation d’une heure avec 20 participants en utilisant le partage de document plutôt qu’un partage d’écran, on peut économiser 42 grammes de CO2 équivalent. Cela équivaut à environ 315 litres d’eau du robinet ou 14 kilomètres en TGV.

Accompagnement des utilisateurs vers un usage responsable : 

Glowbl ne se contente pas d’optimiser sa plateforme techniquement, mais sensibilise aussi ses utilisateurs aux bonnes pratiques :

– Limiter le nombre de flux vidéo actifs

– Privilégier les outils collaboratifs aux partages d’écran

– Désactiver la vidéo quand elle n’est pas nécessaire

– Éviter l’ajout d’effets visuels inutiles

Sans installation :

Glowbl fonctionne directement depuis un navigateur, sans nécessiter de téléchargement ou d’installation, ce qui réduit les barrières techniques pour les utilisateurs.

Compatibilité multi-appareils :

Il est préférable d’utiliser Glowbl sur ordinateur, cependant Glowbl est également compatible avec une tablette ou un portable pour suivre une conférence.

Interface intuitive :

L’organisation en îlots de tables et la navigation fluide permettent une prise en main rapide, y compris pour les personnes moins à l’aise avec les outils numériques.

Utilisation de pictogrammes et d’indicateurs visuels :

Favorise une compréhension immédiate des actions possibles, sans dépendre uniquement du texte.

  >> Voir le témoignage de l’UPJV

Sous-titrage et transcription :

Possibilité d’ajouter du texte pour accompagner les échanges oraux, ce qui aide les personnes malentendantes.

Contrastes et lisibilité :

Interface claire ou sombre selon les préférences des utilisateurs.

  >> Voir le témoignage de YNOV

Déplacement libre et autonome :

Les utilisateurs peuvent rejoindre les tables de discussion à leur rythme et en autonomie.

Sous-groupes facilités :

Les 9 tables dans un même espace permettent d’organiser facilement des sous-groupes, par exemple des groupes de niveau. Cela favorise un accompagnement personnalisé et simple pour le formateur.

Interface visuelle :

l’interface visuelle permet de garder ses repères du présentiel et de conserver le lien avec l’ensemble des participants tout au long de la session. Cela est beaucoup plus naturel et efficace pour l’animateur comme pour les participants

Alternance entre modes de communication :

Possibilité d’interagir via la voix, la vidéo, le chat ou des notes collaboratives, laissant le choix du mode d’échange selon les préférences et les besoins.

Outils intégrés pour favoriser l’expression :

Tableau blanc, post-it et documents projetés permettent de contribuer même sans prise de parole directe.

Synchronisation des contenus :

Assure une expérience fluide pour tous, évitant la désorientation de certains participants.